Dans la rue nous marchons et l’air chaud de ce début d’été nous rend heureux. Tu te tiens contre moi, nos doigts entrelacés et au travers du regard des gens dans la rue nous savons que nous sommes beaux.

Dans la rue des restaurants les terrasses sont pleines et animées. Nous choisissons une table à l’intérieur pour avoir un peu plus d’intimité. Tu t’installes face à moi, et commençons à détailler la carte. Le serveur vient prendre notre commande, revient avec deux mojitos que nous lui avons commandé en apéritif, puis repart à ces tâches.

Nos verres en main nous trinquons en nous regardant dans les yeux. Je sais au travers de ton sourire que tu repenses à cette folie douce de tout à l’heure quand nous nous sommes fait jouir mutuellement. Rien que d’y penser je sens mon sexe se durcir de nouveau, et une chaleur envahir mon corps.

Il y a peu de monde dans la salle du restaurant aussi nous pouvons parler en toute tranquillité sans que nos propos tombe dans une oreille indiscrète. D’une voix grave et chaude je te dis

Tu sais que tu m’as donné beaucoup de plaisir et tu sais quoi aussi ? J’aime quand je te touche, quand tu t’abandonnes à mes doigts, que j’ai la sensation de pouvoir faire tout ce que je veux de toi, qu’il n’y a plus aucune retenue. Tu sais que quand tu t’offres à moi ainsi, tes jambes ouvertes, ta chatte humide et gonflée de désir, cela me rend fou, dingue, presque bestiale.

Au mot bestial, tu ris et me répond qu’il y a encore des choses plus intenses que tu voudrais découvrir avec moi.

Encore une fois, moi qui croyais te connaitre sur le bout des doigts me voilà surpris par ta réponse.

« Des choses encore plus bestiales » ? Je te demande.

Oui, me réponds tu, j’ai envie parfois d’être totalement a ta merci et que tu fasses de moi ce que tu veux. Attention, je ne te parle pas de relation maître à esclave … quoique.

A ces mots c’est à mon tour de rire. Mais encore une fois je sens cette tension monter, cette vibration et ma bite qui palpite dans mon pantalon. Je n’ai pas remis mon boxer quand on s’est rhabillé tout à l’heure. Mon regard a dû changer car sous la table je sens que tu as sorti ton pied de sa chaussure à talon pour venir le poser au niveau de mon entrejambe.

Mon sourire s’est figé à ton contact alors que le tiens s’est amplifié. Délicatement tu bouges on pied, tu me forces à ouvrir les jambes. T’as envie de t’amuser avec moi. Sans te prévenir j’attrape ton pied avec ma main pour en caresser sa cambrure et remonter sur ton mollet. Tu souris de nouveau et soupire légèrement et tu me dis

« J’aime tes mains, j’aime ta délicatesse, mais Jaime aussi cette force que tu as. Ouvre ta braguette s’il te plait ».

Je regarde autour de moi pour vérifier que personne ne peut nous voir. De plus la nappe est suffisamment longue pour masquer ce moment de complicité. Alors je défais ma braguette et sors mon sexe de mon pantalon. Le contact avec ton pied me fait frémir, et gémir doucement. Mon sexe est dur, je bande de nouveau et de avec ton pied tu joues avec lui. Tu essayes de me masturber mais c’est bien moins facile qu’avec ta main et cela t’amuse. Le serveur nous amène les entrées, nous demande si tout va bien et nous lui répondons, d’un air innocent que tout est parfait. Et il repart.

Durant sa présence ton pied a coincé ma queue le long de ma jambe et tu m’as branlé tout doucement. Ce fut une divine torture que de te sentir aller et venir, et maitriser ma bite qui ne demande qu’à s’échapper de ton contrôle.

J’essaie de donner le change avec mon visage en essayant de rester détendue mais parfois un frisson que je ne peux retenir me parcourt. Toi tu ne me quittes pas des yeux et tu aimes voir le résultat de tes caresses.

L’entrée terminée, le serveur revient nous desservir. Je lui demande, s’il y a un endroit où nous pouvons fumer et il me répond qu’il y a derrière le restaurant une cours intérieur qui se prête à cela. Tu remets ta chaussure à ton pied, moi j’essaye tant bien que mal à remettre ma bite dans mon pantalon et me lèvre aussi. Tu ris de voir cette bosse sur mon pantalon, tu passes devant moi afin de la masquer un peu du regard des autres, et nous allons dans cette cours intérieur.

Nous sommes seuls dans cette cours peu éclairée. Aussi j’en profite pour t’attraper la taille par derrière et de plonger ma tête dans le creux de ton cou. Tu penches la tête en arrière et tu colles tes fesses à mon bassin. J’aime a sentir ton parfum, la chaleur de ton corps, la douceur de ta peau. Ta robe te va bien et souligne tes seins lourds. Mes mains se posent sur ton ventre et je sens que ta respiration s’accélère. Mes mains remontent vers ta poitrine, soupèse tes seins et je sens au travers du tissu que tes tétons se durcissent. Rien que cela et je bande de nouveau un peu plus fort. N’y tenant plus je mordille ton cou, ton oreille et du soupire.

« J’ai envie de toi, là maintenant tu sais »

Tu ne me réponds pas mais de la façon que tu as de te coller à moi je sais que toi aussi tu le veux.

« Penche toi et appuis toi contre le mur ». Ce faisant je remonte ta robe, découvre ton cul. Je glisse une main entre tes jambes et je sens ta chatte humide qui palpite sous mes doigts. Oui toi aussi tu en as envie. Ton sexe est encore gonflé du plaisir que nous avons eu tout à l’heure. Je sors ma queue de mon pantalon, j’écarte un peu tes fesses, plis de genoux et approche mon gland de ton intimité. Dès que tu as senti mon contact tu t’es raidi, tu t’es grandie sur la pointe des pieds et je t’ai pénétré d’un seul coup. Ta chatte trempée m’a accueilli, ma queue a glisser en toi et nous avons soupiré. Mes mains ont attrapé tes hanches et j’ai commencé à aller et venir en toi sans ménagement. A chaque fois que je m’enfonce en toi mes couilles viennent à claquer sur tes lèvres et de ta bouche sort un gémissement. J’ai serré tes hanches pour te baiser encore plus fort. Tu gémis sans retenue et je sais que tu vas jouir, que tu en as envie. D’une main j’ai saisi un de tes tétons que j’ai commencé à agacé entre deux doigts. Tu t’es cambrée encore un peu plus pour m’offrir ton cul, pour que je puisse aller encore plus profondément en toi. Je sens ta chatte se contracter, m’enserrer, m’aspirer. Tu mouilles terriblement et je sens mes couilles  devenir humide de ton plaisir. Ma main à lâcher ta hanche, je lèche mon pouce et je viens à masser ton cul, le trou de ton cul. Ce contact t’a fait sursauter et tu as de nouveau gémis.

« Tu veux ? t’ai-je demandé

« Ne me demande pas » as-tu gémis

« Fais-le » dis-tu d’une voix rauque

Alors mon pouce à continuer de masser ton cul, de plus en plus fort jusqu’a rentrer en toi jusqu’à sa base. Là tu t’es retenue de crier. Je sens ma bite aller et venir en toi, je sens cette chaleur envahissante. Ma queue devient brulante, tout aussi brulante que ta chatte. En libérant une de tes mains du mur, je sens que tu es en train de branler ton clitoris. Mes couilles viennent cogner contre tes doigts. je sens tes jambes trembler. Tu gémis que tu vas jouir, que ça vient, que je te fais perdre la tête.

Alors je sens ta chatte s’ouvrir et se refermer sur ma queue, je  sens ton plaisir couler le long de tes jambes, sur les couilles, je sens ta main qui presse ton clitoris. Ton corps de se raidit, tu jouis tout contre moi en me demandant de te prendre encore plus fort, plus vite. De ta bouche sort un long gémissement, qui n’en finit pas.

Ton corps tressaute, se calme, s’apaise, je ne bouge plus et reste en toi. Je sens ma bite donner des secousses mais je ne bouge plus. Doucement je me retire, tu te retournes, tu me souris. Sur ton visage je vois les traces de ton plaisir, et tes yeux brillent.

Tu regardes ma bite luisante et en te penchant tu déposes un baiser sur mon gland. Puis tu l’as saisi et ta bouche, ta langue entre en action. Là c’est mon corps qui vient de se cambrer à ton contact. Mes mains posées sur tes épaules je me laisse porter par tes caresses. Puis je te pousse un peu, tu me regardes d’un air interrogatif, je te souris pour te dire.

« Rentrons, sinon on va manger froid »

Alors tu ris car tu comprends que je ne veux pas jouir maintenant. Plus tard surement. Quelques secondes nous suffisent pour nous retomber un aspect extérieur convenable. Combien de temps nous sommes restés dans cette cours, je ne sais pas mais je sais que nos jambes sont un peu flageolantes quand nous rentrons dans la salle du restaurant. Le serveur profite de notre arrivé pour venir nous servir avec dans son regard quelque chose qu’il n’avait pas tout à l’heure.

Va-t-il deviner ? Aucune idée. Toujours est-il que nous lui sourions. Une fois qu’il s’est éloigné, nous nous penchons l’un vers l’autre. Nous nous embrassons.

« Je t’aime »

« Je t’aime aussi, réponds tu ».

 

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