La suite du repas se passe tranquillement et nous échangeons aussi bien avec des mots qu’avec notre regard. Je n’arrive pas à me défaire de ton regard, tu m’hypnotises, je t’hypnotise. En sortant sur restaurant, le serveur nous glisse avec un regard amusé que c’était un plaisir de nous avoir eu à manger ce soir. Toi et moi nous nous regardons et presque en choeur nous lui répondons que tout le plaisir était pour nous. En nous éloignant je te demande si tu as eu la même pensée que moi concernant le serveur. Tu me dis que oui, qu’il a du nous voir quand nous étions dans l’arrière cour du restaurant et que tu espère qu’il a aimé ce qu’il a vu et qui sait, peut être qu’il en a retirer du plaisir.

Là je m’imagine le serveur en train de se branler alors que nous baisions et je me remet à bander un peu. Toi tu as deviné mon trouble, tu me souris en me disant:
C’est excitant tu ne trouves pas ? Moi j’aime bien cette idée, que tu me fasses l’amour, que tu me baises et qu’un autre puisse aussi en profiter. Tant qu’il reste dans son coin bien entendu !

Dans la rue il y a un peu plus de monde qui ont eu la même idée que nous, de sortir ce soir. Nous déambulons et nous arrêtons pour écouter un groupe de musicien qui s’est installé sur une place. Les gens ont formé un cercle autour d’eux et quelques un se mettent à danser au rythme de la musique. Moi je me suis collé contre toi, mes bras t’ont entouré et je me laisse bercé par la musique et par le mouvement de ton bassin.
Plusieurs morceaux passent puis tu te retournes, te colle a moi et commençons a danser ensemble. Je plonge mes yeux dans les tiens et je m’y noie avec volupté.

Tu me regardes et me dis:
« Dis donc, mais tu n’arrêtes pas de bander »
Alors je ris et te réponds
« Dis donc, qui a jouis tout à l’heure et qui n’a pas eu son compte ? »
Tes yeux se plissent et dans le creux de mon oreille, ta voie chaude, sensuelle, sexuelle, me répond:
« T’aimerais que je te suce mon chéri ? »

Et voilà tu viens de m’électriser de nouveau, de faire parcourir mon corps d’un frisson de plaisir. J’ai envie de grogner de feuler tel un fauve mais je me retiens car il y a un peu de monde autour de nous. D’ailleurs je me rends compte qu’il est possible que j’aie grogné mais avec la musique personne n’a vraiment entendu.

Le temps passe et nous décidons de rentrer et de prendre un taxi.
Nous avons de la chance car nous en trouvons un assez rapidement. Nous montons dedans et nous laissons conduire. Tu as posé ta tête contre mon épaule, j’ai posé ma main sur ta cuisse. Tu me jettes un coup d’oeil et ta main se pose sur mon entrejambe. L’effet est immédiat et tu en abuses en me caressant au travers de mon pantalon. Ma main s’est crispée sur le haut de ta cuisse et tes jambes se sont écartées sensiblement. Décidément, l’arrivée de l’été nous a mis à fleur de peau. Ta main gauche remonte ta robe jusqu’à découvrir, le haut de tes cuisses, le début de ton entrejambe. Le chauffeur est concentré sur la route même s’il n’y a pas beaucoup de circulation. Il nous parle de la pluie, et du beau temps, de la vie qui est chère de toutes ces banalités dont nous n’avons pas grande chose à faire toi et moi, et nous lui répondons que de façon épisodique.

Tes doigts dessinent le contour de ma queue, caressent mes testicules avec plus ou moins de force. Tu ressens combien je bande et quand tes doigts effleurent le gland de ma bite, je me raidis. Ma main n’est pas en reste avec toi car délicatement j’ai glissé mes doigts vers ta chatte. J’aime le contact, doux, soyeux, chaud de ta peau. J’aime sentir tes délicates lèvres qui s’entrouvrent légèrement dès que mes doigts en dessinent le contour. Tu me souris, et toi aussi tu te retiens de soupirer. Ma bite est dure et cette fois tu la serres dans ta main. Mes couilles sont tendues et je dois faire des efforts pour ne pas me laisser aller et jouir dans ce taxi.

Je te caresse avec deux doigts de part et d’autres de ta chatte. Mes doigts vont et viennent de bas en haut, effleure ton clitoris que je sens rouler contre la paume de ma main. Tu mouilles et s’il n’y avait pas le bruit du moteur je sais que je pourrais entendre le son de ta chatte humide, ce son que j’adore et dont je ne me lasse pas.
Ta poitrine s’est gonflée, tes tétons durcis sont visibles au travers de ta robe.
Ma queue tressaute dans ta main, et tu arrêtes de me branler car toi aussi tu sais que je ne suis pas loin de jouir.

Nous approchons de notre quartier et c’est avec peine que je retire ma main pour que tu puisses refaire descendre ta robe. Ta main a relâché mon sexe. Le taxi s’est arrêté, nous réglons la course et descendons. Mes jambes tremblent un peu. Le genre de tremblement que nul ne peut maitriser. Je te donne la main pour t’aider à sortir et aussi pour te mater car j’aime ce mouvement de jambes que tu as pour quitter la banquette arrière. Une fois dehors le chauffeur nous souhaite une bonne fin de soirée et s’éloigne. Dehors nous sommes seuls, je te prends mes bras, me serre contre toi et t’embrasse. Ta langue glisse entre mes lèvres et c’est un baiser fougueux qui nous prend. Je glisse mes doigts dans tes cheveux long, sur ta nuque, sur tes épaules et a chacune de mes caresses ton ventre se tend contre le mien.
Je te regarde et te dis
« Viens, rentrons je n’en peux plus »

Je te prends par la main et t’entraine vers la maison. Nous entrons et je t’emmène vers la salle à manger. J’ai envie de toi, de ta chatte de ton cul, de tes seins, de ta bouche, de tes mains, de tes hanches, de ta langue. Je te veux toute, toute à moi car l’excitation est trop grande, trop forte.

Je t’attire a moi, te retourne et te pousse vers la table. Une fois plaquée contre la table, je te fais pencher au dessus, les bras bien en avant devant toi.
Tu ris en me demandant ce que je fais
Ma voix est rauque, chargé de désir.
 » Ce que je fais ? Attends tu verras bien »

Tu es penchée sur la table les mains bien au dessus de ta tête. Ma main se pose sur ta nuque, mon coude appuyé contre ton dos et nerveusement je remonte ta robe au dessus de ton cul, jusqu’à découvrir le creux de tes reins. Mes mains tremblent d’excitation et ton cul se tend vers moi à chacun de mes gestes. Tu attends mais tu es impatiente. Ma main libre te fait écarter les jambes et je vois tes lèvres luisantes de plaisir s’entrouvrir. Je caresse l’intérieur de tes cuisses sans toucher ton sexe, sans effleurer ni tes lèvres ni ton clitoris. Tu gémis et à chaque fois que mes doigts effleurent presque ta chatte tes genoux se plient un peu et tu remues ton bassin.

Ma main se plaque sur ta chatte et je poursuis mes caresses. Tu as tressauté et écartée un peu plus tes cuisses. Je me suis penché sur toi, et je dépose un baiser dans le creux de tes reins, sur tes fesses. J’ai envie de te mordre, j’ai envie de toi.
Ma queue me fait mal dans mon pantalon. Je la sors pour venir me coller a toi, contre ta cuisse. Ma main te caresse, tu me supplies de te pénétrer avec mes doigts ou ma bite mais je n’en fais rien. Je retire ma main, j’attends un peu et claque la paume de ma main sur ton cul. Ce geste te surprend, mais ta bouche émet un râle de plaisir. Ta fesse rougit un peu puis je t’administre encore une autre petite fessée, puis une autre, puis encore une fois.

Ton cul s’est tendu, tes jambes écartées se plient un peu. Ta chatte est luisante de plaisir et tu gémis. Je pose ma main sur tes lèvres, glissent deux doigts en toi que je vais aller et venir d’une façon ferme, décidée. Chacun des mouvements de ton bassin font s’enfoncer mes doigts plus profondément en toi. Ma bite est dure au point de me faire mal mais je reprends les petites fessées sur l’autre fesse cette fois. J’alterne entre une fessée et deux doigts dans ta chatte. Tu gémis, tu cries quand ma main touche ta peau, quand ma main te caresse le creux de tes reins et quand mes doigts vont et viennent en toi. Tes fesses sont légèrement marquées de mes doigts. Je dépose un baiser sur ton cul qui te fait frémir.

« Tu aimes ma chérie ?  »
Tu ne réponds pas mais tu gémis
« Retourne ma chérie  » te dis je d’une voix rauque.
Tu te redresses, me regardes, regardes ma queue avec une envie, une envie brulante. Je fait passer ta robe par dessus ta tête et tu es nue devant moi.
« Allonge toi sur la table ». J’ai de plus en plus de mal à parler tant l’excitation est grande.
Je m’approche de toi, mon gland touche de façon imperceptible la chatte. Ce contact t’a fait te contracter et tu me dis
« Putain prends moi, viens en moi, tu me tues »
Tes mots me font grogner, je saisis l’intérieur de tes cuisses et d’un seul coup je plonge ma queue en toi. Ta chatte est brulante, elle m’aspire, m’enserre, me caresse. Mes couilles viennent claquer sur ton cul et je vais et viens de plus en plus fort. Mes mains saisissent tes seins lourds, attrapent tes tétons qui durcissent un peu plus entre mes doigts. Je les caresse, les fait rouler entre mes doigts, tirent un peu dessus.

Tu cries, que tu aimes, que tu m’aimes que tu jouis.
Moi je ne contrôle plus rien, ma queue va et vient, mon corps me brule, mon esprit est parti je sens que je vais exploser. Tes mains attrapent les miennes, nos doigts se mêlent, tu te contractes, ton sexe se contracte, ton corps se tend et tu m’entraines dans ton orgasme. Nous poussons tous les deux un cri presque animal, je m’effondre sur toi, tes jambes m’enserre le bassin, mon corps frémis a chacune de tes respirations, je te serre, tu me serres.

Il nous faut du temps pour reprendre nos esprits. On se regarde, nos bouches se rapprochent et le baiser qui suit est d’une intensité telle que le souffle nous manque.
Mes doigts caressent tes cheveux, je sens tes seins contre mon torse, je suis encore en toi et je me sens bien. Tes doigts caressent mon dos et ton mon corps est devenu tellement sensible qu’a chaque mouvement je frémis et cela t’amuse.

Ainsi enlacé, notre étreinte dure encore et encore, nos baisers se prolongent.

Auteur Anonyme

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