La journée a filé, je ne l’ai pas vu passer. Ce matin en partant j’étais encore pensif à cette soirée d’hier, à ce matin, à toi. Notre petit déjeuner pris, ce fut un rythme dédié à la journée de travail qui nous attendait. Toi de ton coté avec tes réunions, ton projet auquel tu tiens tant en ce moment, avec ces soucis d’équipe à mettre en place à coordonner, les décisions à prendre… Enfin tout simplement ton travail dans lequel tu t’investis entièrement, mais pas totalement heureusement pour moi. Dans la voiture qui me mène au travail, cette dernière pensée me fais sourire et me fais oublier un temps la journée qui s’annonce pour moi.
Il est 19 heures quand sur mon téléphone ton prénom s’affiche. Je n’ai pas vu le temps passé devant mon ordinateur et à jongler avec cette tonne de papiers qui constitue le dossier que je dois traiter au plus vite. Le temps de mettre mon oreillette et j’entends ta voix toute joyeuse me demander comment ça va et si j’en ai encore pour longtemps.
Un long soupir te donne ma réponse et je n’ai pas finis ma phrase pour te dire que j’en ai encore pour deux heures avant de rentrer que tu me dis que tu passes me voir et de raccrocher. Un moment je reste sans voix, je regarde mon téléphone qui m’indique que tu viens effectivement de raccrocher. Alors je sélectionne cette musique que j’aime tant, qui me ramène à des moments doux passés avec toi et je replonge dans ce projet sans trop penser à cette après-midi que j’ai passé avec cette cliente qui a demandé le travail sur lequel je suis en train de passer mon début de soirée. Je perds la notion du temps et quand je te vois entrer dans mon bureau je suis presque surpris puis ta dernière phrase me revient. J’enlève les oreillettes, je te regarde et te vois me sourire.
« Tu sais que tu es seul dans la boîte à bosser à cette heure-ci ? » me dis tu
« Oui, je sais, je les ai vu partir au fur et à mesure avec tous un petit sourire du genre de dire : Chapeau d’avoir tenu le coup avec ta cliente, mais t’as du boulot maintenant. Et toi ma chérie, comment s’est passé ta journée ? »
« Oh moi ? Bien, très bien même. Il y a eu quelques frictions avec un partenaire mais au final peu de choses car nous allons nous en défaire et avancer ».
« Te défaire d’un partenaire ? Le pauvre… » et de te sourire.
« Enfin, non pas un partenaire, mais une partenaire mais peu importe, elle devenait trop ou pas assez. Peu importe, on avance et c’est ce qui compte ».
« Tu as de la chance d’avancer toi car moi mon après-midi ne fut pas un calvaire mais pas loin’
« Ah bon ? Que s’est-il passé ? »
« Rien de bien grave mais tu sais la fameuse cliente dont je te parlais »
« Celle qui change d’avis à chaque fois et qui te fait du rentre dedans ? »
« Oui … ça pour changer d’avis, c’est une chose qu’elle sait faire et quant au rentre dedans … »
« Allez raconte moi » me dis tu en t’installant dans le siège qui est en face de mon bureau. Ce faisant je ne peux m’empêcher de te regarder remonter ta jupe pour croiser les jambes. Toi aussi tu m’as vu et tu me dis.
« Tu vois que tu as bien fait de m’écouter quand je te disais de prendre un bureau avec un plateau de verre. Avec un plateau en bois tu n’aurais pas pu avoir cette vision et ce regard flatteur mon chéri »
Tu viens de me faire rire en disant cela.
« Bon allez raconte moi je t’écoute. »
Bon tu sais je t’ai déjà parlé de cette cliente, de ses gouts sur ce projet, du soin que l’on doit apporter à l’ensemble de la réalisation. Bon d’un autre coté compte tenu de l’ampleur et du montant du travail, je comprends qu’elle soit exigeante mais bon sang quand ce que tu dois faire change tous les deux jours ou toutes les semaines et qu’en plus elle te dit de choisir pour elle mais qu’au final c’est elle qui choisit… ce n’est pas évident de gérer.
« Oh mon pauvre » me dis tu, d’un air moqueur en balançant ton pied
Alors elle est arrivée, à la bourre, comme à son habitude, elle est entrée dans mon bureau, m’a à peine dit bonjour et s’est installé exactement là où tu es. Elle a jeté son sac a main sur l’autre fauteuil et en me disant qu’elle avait chaud sa veste a suivi la même trajectoire que son sac. Pendant tout ce temps je l’ai regardé sans rien dire, sans rien faire, si ce n’est attendre qu’elle se pose et que l’on puisse discuter. Mais quand même, je ne sais pas si elle n’a que des tenues comme cela mais à chaque fois qu’elle vient, il faut qu’elle porte des chemisiers transparents, ou des hauts à bretelles si fines qu’on … enfin bon je passe.
Et toi ton regard me dit de continuer
Donc elle arrive, s’installe, vérifie 3 fois son téléphone en maugréant qu’elle n’a pas une minutes à elle et se pose, pour plonger son regard dans le mien en me demandant.
« Alors? »
Moi de lui répondre que le projet avance, qu’il avance bien en tenant compte des derniers points que nous avions abordé l’autre jour et … elle m’interrompt pour me dire que tout compte fait ce serait bien de changer tel et tel point et blablabla … blablabla … c’est reparti me voilà encore une fois devant le fait que nous allons modifier le programme. Je prends donc sur moi, je l’écoute et mes yeux se posent sur son chemisier. S’il n’est pas évident de travailler avec elle, en revanche il est agréable de la regarde car elle est très très femme et tu le sais.
« Oui je le sais, je l’ai déjà croisée ici et j’ai même croisé son regard je t’en avais parlé » me dis tu de façon provoquante.
Donc je ne l’écoute que d’une oreille distraite avec en tête les nouveaux changements mon regard sur sa poitrine, à suivre les contours de son soutien-gorge, à regarder la tension du tissu au niveau des boutons, à voir les mouvements de ses seins à chacune de ses respirations. Sa voix est restée la même mais j’ai bien vu que mon regard avait changé quelques unes de ses intonations. Non pas que sa voix est devenu plus chaude mais j’ai perçu une certaine tension. Alors je l’ai de nouveau regardé dans les yeux et y ait vu comme de la provocation mais aussi de la contrariété et un truc bizarre.
« Quel truc bizarre ? Me demandes-tu
Je ne sais pas, comme si le fait que j’ai pu regarder sa poitrine ai pu lui plaire et lui déplaire à la fois.
En rigolant tu me dis qu’elle ne sait pas ce qu’elle perd.
Et moi de te répondre que ça m’est égal qu’elle ne sache pas.
« Allez continu, raconte moi »
Je l’ai donc regardé dans les yeux et j’ai bien noté qu’elle se redressait dans le siège ce qui a eu pour effet de tendre un peu plus son chemisier. Et d’un mouvement rapide elle a décroisé ses jambes pour les recroiser mais de l’autre côté cette fois. Sa jupe est remontée un peu, elle s’en est aperçue, a aussi noter que j’avais vu, mais n’a rien fait pour corriger cela et à continuer son monologue. Moi de mon côté je prenais des notes. Nouveau croisement de jambes et la jupe est montée d’un cran. Là je me suis dit que si elle continuait de la sorte, encore deux ou trois mouvements de jambes et la jupe ne serait plus d’aucune utilité. Alors j’ai du sourire et elle l’a vu
Et ? M’as-tu demandé
Et ? Alors d’une voix froide, elle m’a demandé si c’est ce qu’elle me disait qui me faisait sourire. Je savais ou plutôt je me doutais qu’elle savait que c’était parce que j’avais observé sa jupe et sa progression mais que lui répondre. Alors j’ai assuré que non, que mes pensées s’étaient égarées un instant et elle de me répondre de façon provoquante: j’espère qu’elles étaient dans des contrées agréables vos pensées. Et moi de lui répondre avec un sourire en demi-teinte: des contrées qui ne sont pas désagréables.
Alors elle s’est levé, s’est penché sur mon bureau pour me montrer le dossier, son dossier afin que je lui montre un plan sur lequel nous avions travaillé. J’ai donc montré le plan et elle est resté dans cette position, la main gauche prenant appuis sur le bureau, penchée vers moi, à me coller son décolleter devant les yeux et a suivre le mouvement de sa poitrine.
« Et t’as bandé » me demandes tu sans détour.
Là je ris, tu me connais je te dis. Non je n’ai pas bandé, et j’aime ses mots dans ta bouche, mais oui j’ai eu un début d’érection.
« Alors elle l’a vu » me dis tu. « Elle l’a vu au travers de ton bureau ».
Là je n’en sais rien tu sais, car les yeux essayais de ne pas se focaliser sur ses seins mais sur ses doigts qui m’indiquaient les endroits où l’on devait réaliser des modifications. Je ne sais combien de temps cela a duré mais à un moment donné elle est même passé mon côté du bureau, s’est collé à moi pour me montrer d’autres éléments du dossier à modifier. Tu sais c’est un peu comme se faire envahir. Elle parlait, je prenais des notes, elle bougeait, me touchait, sa poitrine frôlait mon bras, sa main prenait la mienne pour insister sur certaines parties du plan. Et ça continuais blablabla …. blablabla …
« Elle te chauffait alors ? »
Oui et non, Oui dans sa façon de se tenir, d’être penchée sur le bureau, de jouer avec ses jambes et ses chaussures à talon mais dans sa voix c’était bien des ordres qu’elle donnait et surement pas un prélude à une phase charnelle. Puis elle est retournée s’assoir. Ça a duré 4 heures, et pendant quatre heures j’ai
subi avec dans la tête autant de pensées perverses en me disant que puisqu’elle aimait se tenir pencher sur le bureau alors je lui aurais bien remonté la jupe sur ses fesses pour glisser entre ses cuisses ma main et aller lui caresser la chatte. Mais aussi des pensées à me dire qu’elle était en train de me pourrir mon après-midi, ma soirée aussi et les prochain jours. Bref le chaud et le froid. Des érections et douches froides.
« Oh mon pauvre chou » me dis-tu. « Comme tu dois être tendu maintenant. Tu as été content de la voir partir ? »
Oh que oui et quand elle est partie, il a fallu qu’elle me dise qu’elle faisait confiance dans mes prises de décisions et qu’elle aurait plaisir à revenir pour parler avec moi des avancées.
Tu sais ma chérie, si tu m’as tuée ce matin, elle m’a tuée cet après-midi mais différemment.
Toi ton regard est devenu provocateur. Alors tu as remonté ta jupe un peu plus haut et j’ai pu voir tes cuisses et la naissance de ton entrejambe. Ma bouche est devenue sèche, je me suis tue et j’ai souris de ce sourire que j’ai eu quand mes pensées s’étaient égarées. Tu as fait glisser tes mains à l’intérieur de tes cuisses qui se sont un peu entrouvertes et tu as soupiré doucement. Tu m’as souri et tu m’as dit de me détendre, de profiter et de défaire mon pantalon tant que j’y étais. Ce faisant, tu as profité pour ouvrir plus grand tes cuisses ce qui as eu pour effet de remonter plus haut ta jupe. Tu t’es assise au bord du fauteuil du bureau, tes pieds se sont cambrés et ta main, tes mains ont commencé à te caresser au travers le tissu de ta petite culotte. Tu t’es cambrée et j’ai pu admirer ta poitrine sous ton chemisier. Et c’est là que je me suis rendu compte que tu portais les mêmes vêtements que ma cliente de l’après-midi. Toi, cela ne t’avais pas échappé et moi tout à mon histoire que je te racontais je n’avais pas vu, pas fait attention. Tu t’es caressé d’une main, en prenant bien soin de dessiner le contour de tes lèvres avec tes doigts et ton autre main a déboutonné ton chemisier. Délicatement tu en as écarté les pans et ta main s’est posée sur ta poitrine pour la caresser, l’effleurer.
« Sors ta queue mon chéri, montre-moi ta queue, je veux la voir. »
Je me suis retrouvé le pantalon, le boxer sur les chevilles et ma bite qui durcissait. Tu pouvais la voir au travers du bureau comme moi je pouvais te voir te donner du plaisir. Tu t’es mise debout pour faire glisser ta culotte le long de tes jambes et tu me l’as jetée en riant. Tu t’es rassise dans une position encore plus provocante et tu m’as dit
« Branle toi, mais fait le pour que je le vois, caresse toi le gland, caresse toi les couilles »
Quand tu me parles de la sorte tu m’électrises et je me suis exécuter tout en regardant tes doigts jouer avec ton sexe, à en écarter les lèvres, à me montrer ton désir et plaisir monter, à agacer ton clitoris.
Moi je me suis branlé tout doucement, en empoignant ma queue fermement, en caressant de la paume de ma main mon gland. Mes couilles se sont tendus, mon ventre s’est tendu.
Tu as sorti ta poitrine du chemisier, tu as posé tes deux pieds sur le rebord de mon bureau et tu as commencé à te masturber de façon plus pressante face à moi. Tes doigts glissaient sur tes lèvres et de temps en temps tu te pénétrais. A chacune de tes pénétrations ma main se resserrait sur mon sexe. Mon souffle accompagnait le tiens et le silence du bureau était ponctué de tes gémissements et de tes râles. Puis tu t’es de nouveau arrêtée, tu t’es levé et tu as fait le tour de mon bureau.
« Tu me montres ce dossier mon chéri? » m’as-tu demandé en souriant
Alors tu t’es penchée sur le bureau, tes deux mains plaqués dessus et tu t’es cambrée en m’offrant la vue de tes fesses. Tes jambes se sont écartées. Ma main droite s’est posée sur ta cuisse et est remontée. Tout en ne voulant pas jouir, ma main gauche continuait de me branler. Le pouce de ma main droite à effleurer ta chatte, tu as plié un peu des jambes et mon pouce t’a pénétré. J’ai senti toute la chaleur de ton corps, toute la douceur de ton sexe, tout le plaisir qui coulait sur mon doigt. Tu as bougé ton bassin et mon pouce allait et venait en toi. Entendre tes gémissements, tes soupirs m’excitaient terriblement. Puis tu as repoussé ma main droite et tu t’es rapproché de moi. Mes mains ont pris ta taille et ta main a saisi ma queue. Tu as plié un peu des genoux, a fait glisser mon sexe sur les lèvres de ta chatte. Mes doigts ont serré un peu plus fort ta taille et ont provoqué en toi un gémissement. Alors tu es laissée tomber sur moi et je t’ai pénétré d’un coup. Tu as crié et moi aussi. Tu t’es collée à moi, nos bouches se sont trouvées, ma main a caressé tes seins, tes tétons, ton ventre, ton clitoris. Je sentais sous mes doigts ma queue trempée de ton plaisir. Les mouvements de ton bassin accompagnaient les caresses de mes doigts. Mes bras t’on serrée un peu plus fort encore, t’emprisonnant. J’ai senti une onde de plaisir te secouer, une chaleur m’envahir. J’ai fermé les yeux et ce plaisir fulgurant est venu et a tendu mon corps. je t’ai serré encore plus fort et ton vagin s’est contracté, tes doigts mon serré les avant-bras, tes cuisses se sont ouvertes et nous avons jouis dans une longue plainte. J’ai senti ce frisson me parcourir de la tête aux pieds, et à chacun de tes mouvements de le sentir encore et encore. D’être à fleur de peau.
Tu t’es tournée, tu m’as embrassé, je t’ai embrassé et tu m’as dit
« Il est bien ton dossier tu sais »
Alors j’ai ri et t’ai proposé que nous rentrions tous les deux, que tout cela pouvait bien attendre et que nous avions surement d’autres chats à fouetter.
Alors tu as miaulé et je t’ai embrassé.